Mozart, Violon et pianoforte
Nicole TAMESTIT, violon anonyme, XVIIIème siècle
Pierre BOUYER, pianoforte viennois, Marc DUCORNET copie d’après Stein, vers 1780
Nicole TAMESTIT, violon anonyme, XVIIIème siècle
Pierre BOUYER, pianoforte viennois, Marc DUCORNET copie d’après Stein, vers 1780
Nicole TAMESTIT, violon anonyme, XVIIIème siècle
Pierre BOUYER, pianoforte viennois, Marc DUCORNET copie d’après Stein, vers 1780
Aussi merveilleux joueur de clavier que violoniste, Mozart était le mieux placé pour réunir ces deux instruments : il le fait dès son plus jeune âge, et se passionne ensuite pour les perspectives d’alliages sonores qu’ouvre le tout nouveau pianoforte. A 22 ans, à Paris, ce problème le sollicite beaucoup plus que l’hostilité de l’aristocratie française, d’autant plus qu’il a conscience d’être l’un des premiers à y apporter des réponses ; lorsqu’il s’installe à Vienne à 25 ans pour s’affirmer audacieusement et orgueilleusement comme compositeur indépendant, c’est avec 6 nouvelles Sonates pour violon & pianoforte qu’il se présente au public … Dans les dernières années viennoises de Mozart, 4 Sonates magistrales, éditées séparément, voient le jour et établissent définitivement ce genre majeur dans l’Histoire de la Musique – et c’est Beethoven qui saura rapidement prendre sa succession.
Sonate en sol majeur K379
1. Adagio — 6’ 33’’
2. Allegro — 5’ 21’’
3. Thème et variations — 9’ 17’’
Sonate en mi mineur K304
4. Allegro — 7’ 56’’
5. Tempo di Minuetto — 4’ 18’’
“La Bergère Célimène”, K 359
6. Thème et variations — 16’ 06’’
Sonate en si bémol majeur K454 :
7. Largo — 1’ 40’’
8. Allegro — 7’ 36’’
9. Andante — 7’ 28’’
10. Allegretto — 6’ 06’’
Durée totale : 72’ 21’’
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– Le Monde de la Musique